DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 29 janvier 1983 - 39 ans LIEU DE NAISSANCE : Chicago ORIGINES : Américaine & Basque STATUT CIVIL : Célibataire ORIENTATION SEXUELLE : S'intéresse uniquement à la gente féminineMETIER/ETUDES : Médecin sans frontières CELEBRITE: Justin HartleyGROUPE : Queens CRÉDIT AVATAR : Prettygirls CODE RECENSEMENT AVATAR :

Code:

<b>[color=tomato]justin hartley[/color]</b> — <i>connor lewis</i>

caractère du personnage :
Connor est avant tout quelqu'un d'authentique et empathique. Le coeur sur la main, il est toujours là pour son prochain. Aventureux, il n'aime pas quand la vie devint monotone. Chaleureux, il aime être entouré de gens et être présents pour eux. Drôle, il aime bien s'amusé, mais il est rare qu'il ira dans la grande extravagance. Passionné et romantique, il a toujours cru au grand amour même s'il a perdu foi en celle-ci depuis son ex Lyra. Il est donc depuis plutôt méfiant avec la gente féminine et a peur de s'engager avec quelqu'un. Indépendant, il est un célibataire endurci et a l'habitude de faire les choses à sa façon. Pointilleux, il peut parfois paraitre intransigeant parce qu'il est habitué d'avoir cette vision scientifique dû à son métier. Il a parfois de la difficulté à comprendre ces nuances de gris dans une situation. Curieux, il est toutefois toujours ouvert à la discussion et il reconnaitra facilement ses tords.

histoire :

26 août 1993 - Hakuna matata

J’éclate de rire alors que Daouda essaie de me pousser pour que je ne gagne pas la course, mais j’ai l’avantage d’être grand et je continue à toute vitesse. Finalement, c’est Setou qui était bien occupée à laisser les garçons se chamailler qui arrive avant nous. Quoi ? Une fille a réussi à nous battre ? Setou rigole tellement de nous, elle danse de façon victorieuse et nous rions de bon cœur. J'avais promis un cadeau au vainqueur, j’enlève mes chaussures et les tend donc à Setou.

-CRISTOBAL ! Mais je t’avais bien dit de rester tranquille, tes vêtements sont pleins de boues, mais où as-tu mis les pieds encore ? On doit partir prendre l’avion, là je vais devoir défaire tes valises. Dios mio !

Je soupire alors que Abuela m’appelle Cristobal, elle n’arrête pas de dire que je ressemble à son père Cristobal que je n’ai jamais connu. Elle m’a toujours appelé comme ça, mais je sais bien que c’est en réalité pour énerver ma mère qu’elle le fait. Abuela a un sale caractère, elle a tellement été offusqué que ma mère ne me donne pas un nom plus latin comme si elle avait renier totalement ses origines. Je jette un dernier regard vers Setou et Daouda en leur faisant un dernier signe d’aurevoir. Je n’ai tellement pas envie de quitter l’Afrique aujourd’hui pour retourner en Amérique pour l’année scolaire. J’ai l’impression que ce village est devenu le mien. Ici, à courir pieds nus dans les champs infinis, je me sens tellement vivant. J’ai tellement l’impression que les enfants de l’école privée où j’étudie sont superficiels et vides. Si fier de venter le prix de leurs chaussures qu’ils en ont oublié que le simple fait d’avoir des chaussures était un luxe en réalité. Ici en Afrique, Daouda et Setou doivent marcher plus de 10 km alors qu’eux se font reconduire par le chauffeur de papa et maman. Ma abuela remarque alors que je n’ai plus de chaussures dans les pieds.

-Cristobal, j’ai fait exprès de t’acheter des nouvelles chaussures pour que tu en ailles cette fois pour aller à l’aéroport…  

Je regarde ma abuela en lâchant un soupire comme si elle n’avait rien compris à la vie.

-Justement, c’est mieux que je leur laisse les plus neuves ! Elles vont durer plus longtemps pour eux. Ce n’est rien une marche dans un aéroport pour moi sans chaussures, Abuela, ici c’est tout pour eux.

Elle me serre dans ses bras et elle ne dit plus un mot. Je sais qu’au fond d’elle, elle est tellement fière de moi. Abuela elle a le cœur sur la main aussi, elle a toujours travaillé à l’étranger comme infirmière suivant abuelo Hector qui était un médecin sans frontière. Malheureusement, je n’ai jamais connu mon abuelo. Il est mort durant un conflit entre l’armée et un village. Cela n’a pas empêché Abuela de continuer à aider son prochain ici. Je sais qu’il lui manque à chaque jour de sa vie, je la vois parfois pleurer le soir en priant vers les étoiles. Je suis bien triste en prenant la direction de l’aéroport, bien que je suis content de retrouver ma mère, l’idée de retrouver son idiot de Peter me pue au nez. Je n’ai jamais aimé mon beau-père parce que je sais qu’il est la principale raison du divorce de mes parents. Lui qui a fait miroiter à ma mère qu’une vie à Chicago stable était bien mieux que la vie avec mon père à voyager sans cesse. Ma mère et Abuela ne se parle presque plus depuis ce temps. Abuela est tellement insultée de sa décision. Si bien que quand je suis venu en Afrique cet été voir mon père, c’est lui qui a tout arrangé pour que je puisse voir Abuela en secret de ma mère. J’ai passé le premier mois avec lui et j’ai par la suite j’ai été rejoindre Abuela pour le reste du voyage. Dans l’avion, je suis aux côtés de mon père et je regarde par le hublot. J’ai tellement l’impression de me faire punir en retournant en Amérique, heureusement il ne reste que neuf mois avant que je retourne vers cette belle Afrique que j’ai adoptée.


2005 à 2010  - Can you feel the love tonight ?

Il n’y avait aucun doute pour moi à la fin de mes études, il était certain que je désirais suivre à la même trace que mon père et Abuela. J’étais tout simplement fait pour être médecin et aller aider ces gens à l’international. J’avais déjà eu à l’appel bien petit vers ce métier. Même si ma relation avec ma mère et Peter n’avait pas forcément dégénéré à travers les années, j’avais tout de même décidé de ne pas poursuivre mes études à Chicago et j’avais pris la direction de New York plus tôt. Au moins en étant directement sur la côte Est, je me rapprochais de l’Afrique et de mes futurs voyages humanitaires. Si j’étais bien focalisé sur mes études, cela ne m’a pas empêché pour autant de rencontrer Lyra. Dès ce premier regard qu’on a échangé à notre rencontre à l’hôpital alors qu’on était sous la tutelle du même résident, j’ai su que notre histoire ne serait pas strictement professionnelle. Jamais, je n’avais vu une aussi belle femme de toute ma vie. Si nous avons commencé à nous envoyer en l’air durant des quarts de travail interminable, il n’en fallu pas très longtemps pour qu’elle devienne officiellement ma copine. Nous avions les mêmes rêves, les mêmes projets et j’avais vraiment l’impression d’avoir trouver cette personne à qui je voulais passer une bague au doigt. Elle rêvait de me suivre en Afrique dans mes missions humanitaires, elle avait décidemment la même passion pour le voyage que moi. Tout se passait à merveille entre nous jusqu’au jour où je fus assigné au département de cardiologie avec Tessa. Si nous nous entendions à merveille au début, un esprit de compétition s’est rapidement installé entre nous. Les jeux avaient été très clairs au début, il n’y aurait que l’un de nous qui resterait dans ce département la prochaine année et nous avions clairement envie d’être le candidat choisi. Si normalement je me considère tout de même comme un homme intelligent, je dois avouer que je n’ai jamais senti venir le plan d’attaque complet de Tessa. J’avais pris ces petites accolades comme des gestes bien banales lorsque nous étions à l’hôpital ou même au bar juste en face. Toutefois, il y eut cette fois où elle alla vraiment trop loin en m’embrassant devant plusieurs de nos collègues et où je fis toute une scène visiblement agacée qu’elle s’essaie sur moi alors que j’étais avec Lyra. Le lendemain fut sans doute ma pire journée à l’hôpital, j’ai fini par comprendre que Tessa avait lancé des rumeurs sur nous. Elle racontait que cela faisait des mois qu’on se voyait et que je trompais Lyra avec elle ce qui était strictement faux. J’ai eu beau essayé de convaincre ma copine que tout ceci n’était qu’une mise en scène, elle n’arrivait pas à entendre raison. Comment pouvait-elle croire à la lettre cette garce de Tessa au lieu de moi ?  Notre relation s’est rapidement terminée, Lyra n’était pas capable de me pardonner ces choses que je n’avais pourtant jamais faites et moi en revanche je lui en voulais de ne pas être en mesure de me croire. Moi, l’homme qui avait toujours été là pour elle et avec qui elle partageait sa vie depuis déjà quelques années. Nul besoin de vous dire que Lyra est partie avec une énorme partie de mon coeur cette journée-là et m’a marqué à jamais. J’ai toujours eu de la difficulté par la suite à m’investir réellement de tout cœur dans une relation et je dois avouer que cela m’arrangea même quelques fois bien des années plus tard de devoir changer de village dans le cadre de mes missions humanitaires avant de tomber éperdument amoureux de l’une de ces femmes qui croisaient mon chemin.


2022  - Through faith and love 'til we find our place on the path unwinding in the circle. The circle of life

J’avais dû marcher une vingtaine de kilomètre pour enfin réussir à avoir un signal sur mon téléphone. Abuela m’appelait à tous les dimanches et je ne voulais certainement pas manquer son appel. Voyant qu’elle ne m’appelait pas après une heure, je me décide d’essayer de la rejoindre sur son téléphone de la maison. Mais il n’y a toujours pas de réponse et j’avoue que je commence à être inquiet. Il n’y a pas une seule fois que ma abuela a oublié de m’appeler depuis toutes ces années. Je songe alors à me prendre un vol direct pour New York. Abuela habite présentement dans l’appartement que j’avais acheté durant mes dernières années de formation en médecine. Il m’était bien rassurant d’avoir un endroit pour garder toutes mes vieilles choses et surtout un pied à terre si je décidais de venir en Amérique. Même si cet appartement avait été peu habité, je le voyais comme un investissement. Ce n’était pas en Afrique que j’avais les plus grandes dépenses et j’avais largement les moyens de me payer ce luxe. Quand Abuela avait décidé de prendre finalement sa retraite, il avait été tout naturel pour moi de lui offrir d’habiter à mon appartement. Je réessaie d’appeler à mon appartement une dernière fois et cette fois la ligne se décroche, mais c’est une voix d’enfant qui est l’autre bout du fil. Je fronce les sourcils en essayant de comprendre ce qui se passe. Alors que je demande de parler à ma grand-mère à l’enfant, ce dernier ne semble pas comprendre ma demande.

-Ahhhhh vous parlez de Madame B ? Mais elle n’est pas ici Madame B, monsieur !

J’ai un sourire en attendant le surnom que s’est toujours donné ma abuela, les gens avaient bien de la difficulté à prononcer son nom et elle leur disait toujours de l’appeler Madame B. Alors que je viens pour demander au jeune garçon où est ma abuela, j’entends une voix derrière qui me parait étrangement familière.

-Mais qu’est-ce que tu fais au téléphone ?  Il faut se dépêcher de retourner à l’hôpital voir Madame B.

Mon cœur se comprime dans ma poitrine. Est-ce que Abuela est vraiment à l’hôpital ? Sans doute que le petit garçon ne voulait pas contrarier sa mère parce qu’aussitôt il raccroche me laissant sans voix, ici en Afrique. Il n’y a même pas d’hésitation possible pour moi, j’ai beau avoir le cœur sur la main et vouloir continuer ma mission humanitaire, mais ma abuela est vraiment ma priorité. Je retourne au village et je ramasse tous mes trucs. Le lendemain je suis déjà dans un avion pour New York.

Voilà maintenant six mois que je suis arrivé dans la grande pomme. J’ai eu une grande adaptation dans ce retour dans une société plus moderne. Je ne comprends pas d’ailleurs quand je vois tous ces gens le cou penché sur le téléphone, dans leur propre monde individuel à ignorer leur prochain. Je ne reviens toujours pas que Abuela m’a caché que pendant les deux dernières années elle n’arrêtait pas d’entrer et de sortir de l’hôpital. Elle voulait que je ne m’inquiète pas et que je continue ma vie, mais j’aurais tellement pu être là pour elle dans toutes ces épreuves. J’avoue que l’Afrique me manque par moment et que je préférais de loin cette jungle verte à cette marrée humaine de Times Square. Toutefois, la maladie d’Abuela m’a fait réaliser que la vie était courte. Je ne serais pas capable de retourner en Afrique pour une année complète. Ma place est pour l’instant ici à New York, près de ma famille.  Je ne me pose pas plus de questions pour le reste, j’attends de voir ce que la vie me réserve.

PSEUDO : AngelbleuÂGE : 30 ans. TU NOUS AS CONNU COMMENT : Il y a fort fort longtemps UN TRUC EN PLUS : Je vous aime <3

Un vrai régal que ce Monsieur BG   J'adore Connor et j'adore encore plus tout ce qui se profile. Hâte de le voir évoluer par ici et de jouer notre lien  Rebienvenue chez toi   


BRAVO BRAVO BRAVO à toi ! Tu fais partie à présent de la superbe communauté de WAM. Autant te dire tout de suite que c'est un méga honneur pour toi et pour nous ! Mais attention, il te reste quelques petites choses à faire à présent si tu veux que ton personnage soit bien dans cette ville ! Promis, c'est pas très long.

Déjà, il te faudra trouver un toit où dormir, les ponts de la NYC ne sont pas plus accueillants que ça, j'te jure. Tu verras qu'il y a trois quartiers différents dans chacun des arrondissements de la ville. A toi de trouver celui où tu seras le mieux.

Ensuite, tu peux chercher des amis ! Pour ça, va donc faire ta petite fiche de liens afin d'échanger tes idées avec les autres habitants. N'hésite pas aussi à te rendre dans les leurs. C'est toujours plus sympa ! Par la même occas' tu peux aussi créer une fiche de rp si tu en as envie. Ce n'est pas du tout obligatoire hein, mais ça peut aider.

Enfin, tu as sans doute envie d'agrandir ton cercle de connaissances et tous ne sont peut-être pas encore présents. Dans ce cas, viens donc imaginer tout ça en construisant un scénario ou bien un pré-lien, c'est toi qui voit.

Dans tous les cas, si jamais tu as une question ou un soucis, la boite MP de la team est grande ouverte ! On espère que tu te plairas parmi nous !