DATE DE NAISSANCE & ÂGE : Née le 12 Décembre 1990, elle vient de souffler sa trentième bougie. LIEU DE NAISSANCE : Londres, jolie ville anglaise où elle y a vécu durant onze ans avec toute sa famille avant que celle-ci ne déménage pour New-York suite à la mutation de son cher papa. ORIGINES : anglaises par sa mère, américaines par son père STATUT CIVIL : célibataire, son coeur est actuellement libre comme l'air  ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. Les femmes ne l'ont jamais attiré pour le moment et elle a du mal à résister devant un corps masculin. METIER/ETUDES : cascadeuse professionnelle et doublure en cinéma. Chose un peu surprenante quand on la voit d'un premier abord mais qui se valide en apprenant à la connaitre. CELEBRITE: Willa Holland GROUPE : Queens CRÉDIT AVATAR : nympheas CODE RECENSEMENT AVATAR :

Code:

<b>[color=tomato]willa holland[/color]</b> — <i>eryn evans</i>

caractère du personnage : Qu'est-ce qu'on peut dire de moi ? J'pense pas être une fille difficile à vivre. J'ai mon petit caractère comme tout le monde, mais je ne suis pas un monstre non plus. Certaines personnes vous diront "Eryn, elle est pas méchante, mais putain qu'est ce qu'elle est chiante.". Libre à vous de les croire sur paroles ou non, mais si vous voulez mon avis, apprenez à me connaitre avant de vous faire un tel avis. Si j'pouvais vous aiguillez un peu en vous donnant quelques unes de mes qualités, j'vous dirai bien que j'suis une nana assez sociable. J'ai pas peur d'aller vers les autres et j'me fais aussi facilement des amis. A l'école c'était déjà le cas et ça n'a pas changé avec l'âge. J'suis assez avenante donc ça doit aider. Mes amis sont très importants à mes yeux, tout comme les membres de ma famille. Si jamais quelqu'un a le malheur d'y toucher, je me ferai un malin plaisir de lui casser les doigts. Ou de lui broyer les genoux, au choix suivant la préférence et la partie du corps qu'il aime le moins chez lui. Voyez, j'suis quand même vachement arrangeante ! Avouez qu'ça fait peur dit comme ça. En vrai, j'suis un agneau c'est promis ! Douce comme une brebis même ! Si on continue ma liste de qualité, on peut dire de moi que je suis sympathique et que j'ai un petit sens de l'humour pas comme tout le monde. Je sais faire des blagues hein, mais des fois ça fait des flops et je suis la seule à rire. Mais vu que je suis plutôt bonne public, ça ne me dérange pas plus que ça. D'ailleurs, on me dit souvent que j'ai un rire communicatif. Ah oui, mon frère rajoute à qui veut l'entendre que j'ai le nez qui fronce quand je rigole, ce qui me donne un p'tit air de souris. C'est presque ma marque de fabrique ça. J’adore me réveiller le matin sans savoir ce qu’il va m’arriver, qui je vais rencontrer, où je vais échouer. Et dans l'ensemble, j'essaye de voir le bon côté des choses, mais je reste humaine aussi et il m'arrive, comme pour tout le monde, de m'énerver de temps à autre et de râler. Mais ne dit-on pas que c'est bon pour la santé ? D'ailleurs, ne me filez pas un volant entre les mains. Non pas que je ne sache pas conduire, au contraire, je manie même très bien les véhicules. Seulement, vous finirez par avoir les tympans percés au bout d'un certain temps. Sérieusement, vous trouvez que la conduite des new-yorkais est merveilleuse ? Mais quelle blague ! J'aurais p'tete dû finir par devenir monitrice d'auto école, histoire de leur donner quelques leçons supplémentaire. Mon frère est bien plus à même de contrôler plus facilement ses émotions que moi. J'peux avoir un caractère assez explosif par moment, et je ne réfléchis pas toujours avant d'agir. C'est Eliott la voix de la raison. Moi j'suis du genre à foncer dans les ennuis tête baissée, sans toujours penser aux conséquences. On s'y fait à la longue, mais il m'a servi de couvertures à pas mal de reprises et m'a souvent sorti de pétrins impensables. Faut dire que j'ai parfois le chic pour tomber dans des situations improbables. Comme si j'étais un vrai aimant à conneries. Des fois, on s'amuse à en rire. Par contre, j'suis quelqu'un d'assez déterminée et vachement bornée. Quand j'veux quelque chose, je donne tout pour l'obtenir. La persévérance est l'une de mes plus grandes amies. Mes parents m'ont toujours appris à donner le meilleur de moi dans n'importe quelle situation. J'suis persévérante mais également très compétitive. Mais attention, même si j'aime gagner (et par moment le clamer haut et fort), j'suis pas mauvaise perdante pour autant. Je suis également une personne altruiste, ou du moins, j'essaye de l'être quand je le peux. Je suis très tolérante également, c'est l'une des valeurs les plus importantes que m'a transmise ma famille. Mais aussi, je pense que la vie est un don et je ne veux pas le gâcher, on ne sait pas quelle donne on aura le jour suivant, on apprend à accepter la vie comme elle vient, pour que chaque jour compte. Pour que chaque jour compte. C'est notre mantra dans la famille. Notre façon de voir les choses. On est du genre à mordre la vie à pleines dents. Après tout, une vie, on n'en a qu'une, alors autant ne pas la gâcher.

histoire : La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Et bien la vie a fait un cadeau extraordinaire à ma famille le 12 Décembre 1990. Deux bébés pour le prix d'un. Un acheté un gratuit limite. Me voilà, arrivant dans la vraie vie, hurlant à pleins poumons. Et pas toute seule d'ailleurs : Eliott était à mes côtés, né dix minutes avant moi. Un grand frère ? Non, mon jumeau. Pas d’ça entre nous pour dix minutes, bien que j'vous jure que par moment il me le sort encore quand il se la joue grand frère protecteur. On est devenu complice très rapidement, dès le départ même. Comme si l'on arrivait à lire dans les pensées de l'autre. J'vous jure, c'est bizarre le lien de jumeaux, comme si ça avait un p'tit quelque chose de magique. En un regard, on se comprend de suite. On n'a même pas besoin d'ouvrir la bouche qu'on sait déjà ce que l'autre à en tête. Et pour les bêtises, c'était bien pire. Pas un pour rattraper l'autre. Bon, on n'était pas non plus les pros de la délinquance hein. On n'a jamais rien volé de notre vie, ni racketter qui que ce soit. Non, on se contentait juste de dessiner sur notre père pendant qu'il dormait ou encore sur les murs de notre chambre. Tiens, j'vous ai pas encore dit qu'on avait l'âme de deux artistes ? C'est p'tete parce qu'on était visiblement totalement incompris. Ah, ces adultes !

Heureusement, on a fini par se calmer un peu chacun de notre côté. A l'école, on était sans arrêt dans la même classe et on n'était pas les plus cancres, bien au contraire. Eliott a toujours été une vraie tête en classe. Ce type est vraiment tout sauf bête j'vous jure ! Dans le top trois à chaque fois. De mon côté, bah j'étais pas la première ni la dernière non plus. Il m'aidait de temps en temps pour les contrôles. Non pas que je trichais beaucoup, mais disons que je pouvais voir quelques unes de ses réponses sans trop avoir besoin de lever le visage. Ça transformait mes notes en leur faisant gagner deux trois points par-ci par-là. Autant les langues ça me plaisait, autant les mathématiques ce n'était pas pour moi. D'mon côté, j'avais de bons résultats en sport, si bien que mes parents ont décidé de m'inscrire à des cours à côté. J'aimais le sport, j'aimais courir et me défouler. J'avais besoin de ça, comme un besoin vital. Au final, j'ai choisi assez vite ce que je voulais faire : de la boxe. De cette façon, je serais toujours à même de me défendre. Cette envie est ressortie au plus profond de mon être aux alentours de mes huit ans, lorsque j'ai croisé mon oncle qui s'était fait fracasser par un type dans la rue. J'm'en souviens comme si c'était hier. Son visage ruisselait de sang. Un règlement de comptes pour des raisons que j'étais apparemment trop jeune pour comprendre. Mais le voir, si impuissant m'a convaincu dans l'idée que jamais je ne voudrais être dans un tel état et que je devais apprendre à me défendre. Et finalement, mes parents ont été d'accord. Tout ce qu'ils voulaient, c'était que je fasse un truc qui me plaisait. Et vous savez quoi, c'était bien le cas ! Je voulais prendre des cours de Krav Maga, une discipline étant qualifiée comme le meilleur art martial d'auto défense, rassemblant de nombreuses techniques comme la boxe, le karaté, la lutte gréco-romaine et le jiu-jitsu. Avec ça, je me sentirai libre, plus forte et bien moins vulnérable. Après tout, le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible. Papa me le disait sans cesse. Il croyait en moi, en mes possibilités, tout comme maman. Quand j'vous dis que j'ai les meilleurs parents du monde, vous ne pouvez que me croire sur parole. Malheureusement, j'étais encore bien trop jeune pour ça, donc je me suis concentrée à fond sur mes cours de boxe.

En dehors de ça, ma vie n'était pas bien trépidante. J'avais mon p'tit cercle d'amis et ma famille qui m'aimait du plus profond de son être. Une vie simple, bercée dans l'amour et la tolérance. J'allais dire qu'il n'y avait pas eu de grands changements mais si, on a déménagé et changé de pays ! J'suis née à Londres, j'vous l'avais pas dit mais maintenant tout le monde est au courant donc plus d'excuses. Maman, elle était infirmière et papa, il était comptable. Allez savoir pourquoi il a été muté à New-York, mais c'est comme ça que ça s'est passé. Le jour de mes onze ans (bah oui, sinon c'était pas drôle), on a emménagé dans notre nouvelle maison, dans le Queens. C'est un nouveau voyage, le destin, le hasard, peu importe comment on appelait ça. Mais on a fini par nous y faire. Franchement, l'Amérique nous changeait de l'Angleterre. Déjà, on n'a pas vraiment le même accent, mais la vie y était supportable et pas trop mal finalement. Avec Eliott, on a fait notre rentrée ensemble, de nouveau dans la même classe. Et heureusement d'ailleurs, parce que quand tu arrives dans un endroit que tu ne connais pas, toute seule, bah c'est tout simplement l'angoisse. J'étais bien contente de l'avoir avec moi. Eliott, c'est mon pilier émotionnel. J'ai vraiment besoin de lui dans ma vie, et inversement. D'ailleurs, je me demande toujours comment est-ce qu'il a réussi à survivre dix minutes sans moi. Il est mon tout, il est ma Ohana. « Ohana » famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. De toute façon, s'il cherchait à m'oublier ou bien m'abandonner, il ne le pourrait pas. J'vous dis, ce lien qui nous unit c'est tellement fort et tellement puissant que s'il venait à se barrer à l'autre bout du pays, je le retrouverai et inversement.

L'adolescence est arrivée rapidement. J'pense pas avoir fait de grosses crises d'ado. J'ai pas fugué, j'me suis pas droguée non plus. J'ai même pas fini ivre morte dans un caniveau. Du coup, on peut en conclure que c'était pas trop mal non ? Mes parents m'autorisaient à dormir chez mes copines pour faire des soirées pyjamas. J'ai eu mon premier petit copain à l'âge de quinze ans. J'croyais leur faire peur avant ça. Pourtant, ma face n'était pas ravagée de boutons, l'acné n'avait même pas stationné sur ma face pendant un mois. Non, avant cet âge là, j'devais pas plus les intéresser que ça. Bon en soit, quand je voyais mes copines pleurer parce que leurs mecs les avaient prises pour des poires, ça me donnait pas envie. Et promis, tous leurs membres sont toujours sur eux. J'ai développé une autre technique de défense : la parole et l'ignorance. Le contraire de l’amour n’est pas la haine ; c’est l’indifférence… L'absence de réaction faisait tout aussi mal qu'une lame lancée en plein coeur. Du coup, on a appris ensemble à nous blinder, à nous forger une petite carapace pour ne pas se faire atteindre. Mais avoir un bouclier autour de soi est une chose, essayer de s'ouvrir à quelqu'un est un poil plus dur. Parce qu'être en couple, c'était ça. Mon premier copain s'appelait Harper. Ce fut pas une histoire folichonne. Sans doute pas la plus belle de toutes non plus, mais c'était ma première et rien que ça, on s'en souvient. Un gars de ma classe, qui trainait pas mal avec mon frère d'ailleurs. C'était pas les meilleurs amis du monde hein, mais ils se parlaient bien quand même. On est resté quoi, un peu plus d'un an ensemble. Sauf qu'il a commencé à mal tourné. D'ailleurs, il s'était éloigné d'Eliott à ce moment là et j'en suis bien contente parce que j'aurais pas franchement aimé qu'il l'entraine dans ses conneries. La drogue a eu raison de lui et il a commencé à partir en live. J'ai toujours pensé que dans le monde il n’y a pas d’un côté le bien et le mal, il y a une part de lumière et d’ombre en chacun de nous. Ce qui compte c’est celle que l’on choisit de montrer dans nos actes, ça c’est ce que l’on est vraiment. Mais ce qu'il était vraiment n'était pas très très beau ni recommandable, ce qui fait que l'on s'est séparé. J'avais pas besoin de quelqu'un si toxique dans ma vie.

A mes seize ans, j'ai pu prendre mes cours de Krav Maga comme je le voulais lorsque j'étais plus jeune. Je n'ai pas non plus arrêté la boxe pour autant. Et franchement, je ne l'ai pas regretté une seule minute. C'était fait pour moi et c'était exactement ce dont j'avais besoin. Je sais pas si le fait que j'avais derrière moi huit ans de boxe aidait, mais j'ai assimilé rapidement certaines techniques.

Après le lycée, Eliott et moi avons pris des chemins séparés pour nos études. Contrairement à lui, j'ai fait des études dans le sport. A un moment, j'ai voulu être prof, enseigner à d'autres ce que j'avais appris à mon tour. Devenir une sorte de mentor. Sauf que je n'étais pas sure d'y arriver. J'ai commencé à enchainer quelques petits boulots, histoire d'aider mes parents à financer mes études et pouvoir prendre mon indépendance. J'avais vingt-et-un ans et la vie s'ouvrait devant moi. J'ai donné quelques cours de boxe à des gamins bien plus jeunes que moi pour remplacer mes profs de temps en temps. Ouais, ça me plaisait bien de faire ça, de voir leur regards émerveillés et concentrés sur ce que je disais. Après tout, je n'étais peut-être pas si nulle que je pouvais le penser. J'ai continué comme ça pendant deux trois ans, enchainant mes cours de Krav Maga à côté pour me perfectionner encore et encore, avant que mon prof ne m'annonce une bonne nouvelle : il m'avait décroché un casting pour faire du doublage combat dans une petite série. Rien de bien grand comme projet, mais c'était prometteur. J'me souviens avoir ri quand il m'avait annoncé ça. A aucun moment je n'avais pensé à faire ce genre de job. Si bien que ça ne me paraissait pas si idiot que ça avec le temps. Et le jour du casting, j'ai flippé et je n'y suis pas allée. J'avais tellement peur de moi, peur de me ridiculiser, peur de ne pas avoir assez pratiqué. Peur de ne pas avoir une technique irréprochable. J'ai dû redoubler mes entrainements, pour perfectionner ma technique encore et encore. J'ai même commencé à faire du parkour à côté de ça, mon prof me disant que cela pourrait m'être utile. Au bout d'un an et demi, mon niveau avait augmenté. Si bien qu'il m'inscrivit à mon tout premier casting, avec mon accord. J'vous raconte pas comment je stressais. Et, à ma plus grande surprise, tout s'est très bien passé et j'ai été prise. On a d'ailleurs fêté ça ! Vous vous doutez bien que c'était obligé. J'étais tellement fière, même si c'était pour une toute petite série et que l'on me reconnaitrait pas. Parce que justement, tout était là dedans : on ne verrait pas mon visage. Je me mettais dans l'ombre d'une des stars principales. Mais sur un CV, ça en jetait un max. Alors ouais, des fois je foirais des castings mais dans l'ensemble, j'me débrouillais pas trop mal. Professionnellement parlant, je vivais ma meilleure vie. J'avais tout juste vingt-cinq piges et j'passais à la télévision. Imaginez un peu l'délire ! Et même si on ne me reconnaissait pas, moi, j'me voyais parfaitement bien.

On passe notre vie entière à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir… Comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc. Mais l’avenir change constamment. L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile… l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé. Si on avait dit aux personnes de mon entourage que je finirais cascadeuse professionnelle, ils n'y aurait pas tous cru. Mon côté orgueilleuse et intrépide de mon enfance était pourtant resté bien ancré à l'intérieur de moi, même sous les airs de la jeune femme que j'étais devenue. Et pourtant, le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. Ce temps passait bien trop vite. Une petite vie tranquille, loin de potentiels dramas. Une vie calme et douce comme je les aime. Que voudrais-je demander de plus ? J'ai tout ce qu'il faut pour être bien. Une famille que j'aime fort, un métier qui me passionne et qui me permet de vivre dans la jungle new-yorkaise. Pour ce qui est de l'amour, on repassera une prochaine fois par contre. Si on fait le point actuellement, bah j'ai personne dans ma vie. Alors le coup de la nénette mariée à la trentaine, bah c'est pas moi. On a pas besoin d’un conte de fée, on a juste besoin de quelqu’un avec qui on est bien. Sauf que cette personne, je l'ai pas encore trouvé. J'suis pas sure de croire au prince charmant et j'ai le don de tomber que sur des types bizarres. J'vous jure que j'peux entamer une sacrée collection comme ça. J'peux même rejoindre un club s'il y en a un dans cette ville. Mais bon, je kiffe ma vie à cent à l'heure et c'est ce qui compte le plus. Pour le reste, on verra plus tard.

PSEUDO : Sensatiion ÂGE : 29 ans  TU NOUS AS CONNU COMMENT : j'suis l'une des admins ^^ anciennement Roxanne UN TRUC EN PLUS : si vous arrivez à trouver toutes les citations que j'ai souligné dans ma fiche : chapeau l'artiste !

C'est l'heure du dudududuel ! HA, tu y avais pas pensé à celle là, hein ? Donc, Louise Attaque - Léa, Titanic x2, Forrest Gump, Alice aux pays des merveilles, Céliiiiiiiiiiiiine, Lilo&Stitch. Ensuite pour moi "Le contraire de l’amour n’est pas la haine ; c’est l’indifférence… " c'est juste une citation xD Harry Popo, et les 3 dernières je ne les connais pas, mais la première des trois me dit quand même vachement quelque chose alors ça m'énerve. J'dirais peut-être Doctor Strange? Et si j'écoute Sawyer, c'est surement Grey's anatomy.pour les deux autres, mais comme je regardais pas, ben j'suis niquée ! Mais bref, c'est pas le sujet. Ta fiche est canon, j'aime trop trop trop,finalement, ça valait le coup de l'avoir commencé en l'an 1900 avant JC. XOXO Callista xD

HOURRA ! Si tu lis ce message, c'est que tu as été validé(e) ! Mais attention, il te reste quelques petites choses à faire à présent si tu veux que ton personnage soit bien dans cette ville !

Déjà, il te faudra trouver un toit où dormir, les ponts de la NYC ne sont pas plus accueillants que ça, j'te jure. Mais pour pouvoir le payer, ça serait pas mal de bosser un peu, non ? Alors fonce à Pole Emploi ! Y'aura forcément ton bonheur.

Ensuite, tu peux chercher des amis ! Pour ça, va donc faire ta petite fiche de liens que l'on puisse tous venir y poster. Par la même occas' tu peux aussi créer une fiche de rp si tu en as envie.

Enfin, tu as sans doute envie d'agrandir ton cercle de connaissances et tous ne sont peut-être pas encore présents. Dans ce cas, viens donc imaginer tout ça en construisant un scénario ou bien un pré-lien, c'est toi qui voit.

Dans tous les cas, si jamais tu as une question ou un soucis, la boite MP de la team est grande ouverte ! On espère que tu te plairas parmi nous !