DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 26 octobre 2001, 21 ans LIEU DE NAISSANCE : New-York, USA ORIGINES : Américaine STATUT CIVIL : Célibataire  ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle METIER/ETUDES : Fac de droit CELEBRITE: Elle Fanning GROUPE : Manhattan CRÉDIT AVATAR : 1&3 : prettyvacantavatars; 2 : fassylovergallery CODE RECENSEMENT AVATAR :

Code:

<b>[color=tomato]elle fanning[/color]</b> — <i>emily jones</i>

caractère du personnage : Il y a deux Emily. La gentille, la douce et polie petite Emily avec ses grands yeux pétillants et son sourire d'ange, celle que connait principalement les adultes de sa famille, ses professeurs et autres quasi inconnus, et l'Autre, la vraie Emily. Une fille certes gentille mais avec une bonne dose de sale caractère, un petit ange qui n'hésite pas à se transformer en petit diable si on la chauffe un peu trop. Manquant cruellement de patience, elle peut vite s'agacer lorsque les choses ne vont pas comme elle le voudrait et se montre très rancunière lorsqu'elle se sent blessée. A côté d'elle, Lucifer, c'est un petit stagiaire. Elle sait blesser, elle sait taper là où ça fait mal, et n'hésite pas à le faire lorsqu'elle se sent menacée. Mais elle n'est pas peste pour autant. Être piquante comme le scorpion qu'elle est, lorsqu'il le faut, c'est tout de même très différent que de faire chier quelqu'un gratuitement, juste pour le plaisir, non? D'ailleurs, lorsqu'elle n'aime pas quelqu'un, ou quelque chose, elle le fait savoir. La dessus, on ne peut vraiment pas lui reprocher de manquer de sincérité. Encore fraiche de son adolescence, elle dégage toujours cette insolence dont elle ne s'est jamais totalement défaite, surtout avec sa mère.  Dramaqueen dans l'âme, vous ne l'entendrez jamais dire "c'est pas grave" avec elle, tout est prétexte à l'excès. Têtue et fière, elle ne cède pas facilement du terrain et peut facilement se montrer capricieuse et jalouse. Elevée dans l'Upper East Side, son mode de vie et ses fréquentations ont fait d'elle une fille un peu superficielle. Mais Emily ce n'est pas juste 1 mètre 75 de défauts, la rencontrer c'est aussi accepter de laisser rentrer le fun dans votre vie. Pétillante, festive et drôle, elle est toujours partante pour embarquer dans n'importe quelle idée farfelue. Même si elle manque souvent de justesse, c'est une jeune femme qui n'a qu'une parole et qui connait la valeur de l'amitié - bien plus que la valeur des choses d'ailleurs, merci papa, merci maman de m'avoir fait naitre avec une cuillère en argent dans la bouche - et pour ceux qu'elle aime, elle se donne à fond. Même si elle peut sembler froide d'apparence, c'est une demoiselle très sensible. Émotive, elle travaille beaucoup là dessus, jugeant ça comme une faiblesse. Au quotidien, elle a besoin d'être stimulée physiquement et mentalement pour se sentir vivante, ce qui rend d'ailleurs ses longues heures de cours souvent problématique, l'ennuie laissant souvent place à de l'agitation qu'elle canalise en dessinant sur ses copies. Vous me direz : ce n'est pas grave, si elle n'écoute pas en cours, elle peut toujours réviser. Non, c'est pire encore une fois loin du corps enseignant. Elle essaie, pourtant, vraiment, mais son esprit est comme un électron libre et sans qu'elle ne s'en rende compte, il est déjà l'heure d’espérer dormir quelques heures avant un nouveau jour. Sa résolution de 2023 sera probablement de désinstaller TikTok. En amitié ou en amour (que ce soit au sein de sa famille ou avec un crush) elle aime se sentir aimée. Elle a besoin d'être entourée d'attention et de tendresse, et, dans le cas contraire, elle peut vite se sentir délaissée. Bien qu'elle espère être un jour aussi indépendante que son modèle féminin - spoiler alert, ce n'est pas sa maman - elle dépend du regard des autres, et particulièrement d'un : celui de son père. Avoir le sentiment de le rendre fier, c'est un peu la carotte qui la fait avancer au quotidien mais elle a parfois l'impression que ce serait plus efficace si elle s'appelait Crystal.

histoire : Emily est née fin octobre, parée pour fêter Halloween. Ce n'est pourtant pas sa fête préférée. Bien qu'elle adore les sucreries, c'est surtout Noël qui la fait vibrer. Les lumières, les décorations, la neige, la joie d'être en famille... Non, je plaisantes, c'est surtout les cadeaux qu'elle préfère dans tout ça. Mais bref, revenons-en à son enfance!  Avouons le tout de suite, elle a eu la vie plutôt facile cette petite. Ses parents peuvent au moins se venter de ça : elle n'a jamais manqué de rien. A part de son père, peut-être. Si aujourd'hui, avec son regard d'adulte elle comprend pourquoi il était si souvent absent, elle en a toutefois longtemps souffert. Aujourd'hui encore, elle a parfois l'impression que son unique et véritable bébé, c'est son travail. Et même avec tout l'amour maternelle du monde, rien n’effacerait ce vide. Emily a de la chance de ne plus vraiment se souvenir de tout ça. Elle ne se souvient pas de cet anniversaire incroyable que lui avait organisé Jude, durant lequel elle avait refusé catégoriquement de souffler ses bougies tant que son papa ne serait pas là. Sa mère avait fini par coupé un gâteau tristement recouvert de cire et des larmes d'une petite fille de 4 ans. Ni de ce spectacle à l'école où elle avait eu un petit rôle de danseuse. Elle avait répété tout un trimestre, chaque soir, sans faute, avec sa mère pour épater Benjamin. Et le jour J, le trac l'avait envahit sur scène. Ayant besoin de soutien à cet instant, elle chercha la silhouette de son père dans le public, mais ne trouva que sa mère, sa petite sœur et un siège vide. Tétanisée sur scène, Jude décida alors de se lever et de danser avec elle devant la scène pour l'aider à se souvenir des pas qu'elles connaissaient par coeur. On n'avait jusqu'ici jamais vu une petite tulipe pleurer autant en dansant. Sa mémoire avait aussi totalement effacer toutes ces grandes premières fois durant lesquelles son père avait été absent. Il n'avait pas été là pour la voir gagner son premier match de basket, de baseball, ni même de hockey. Pourtant, elle avait multiplié les activités particulièrement inintéressantes à ses yeux, mais potentiellement intéressantes pour lui, tentant désespérément de susciter de l'attention de sa part, en vain. Elle avait oublié toutes ses absences, s'était réconfortée en croyant les paroles de sa mère lorsqu'elle lui disait qu'il aurait adoré être là mais elle fut bien obligée de constater que lorsqu'il s'agissait de Crystal, leur père trouvait toujours un peu de temps. Les quelques années qui les séparaient suffisaient sans doute à jouer en la faveur de la petite sœur, l'avocat gagnait en stabilité au fil du temps dans son travail. Mais c'était trop tard pour elle. Entourée par des gosses de riches qui tout comme elle ne voyaient que très peu leur parents, les entendant sans cesse dire qu'ils achetaient leur amour, Emily avait simplement fini par grandir avec cette sensation de ne pas être assez bien pour le grand Benjamin Jones, de ne pas être à la hauteur de ses espérances, et de n'avoir pour valeur que celle des cadeaux qu'il lui offrait si souvent. Mais devinez qui était toujours là, telle une héroïne tapis dans l'ombre? Jude. Et pourtant, au fil de l'adolescence, cette maman formidable devenait progressivement la pire ennemie de la petite blonde. Injustement, elle était devenue le réceptacle de toute cette colère refoulée, de toute la frustration, de toute la déception de sa fille, et celle-ci lui faisait payer beaucoup trop souvent ce sentiment d'abandon. Une crise d'adolescente peut-être aussi marquée par l'inconscient de la demoiselle, de toutes ses nuits où elle avait cherché du réconfort vers sa mère lorsqu'elle était toute petite, après un vilain cauchemar, réveillant celle-ci dans un sursaut effrayé lorsqu'elle la rejoignait dans son lit. On dit souvent que les absents ont toujours tord, mais pour Emily, c'était tout l'inverse. Elle continuait d'aduler son père, et agissait comme si Jude était la coupable de tout ça. Elle se montrait parfois méprisante lorsqu'il s'agissait de sa maman, comme lorsque son grand-père, un soir, lui avait demandé si elle épouserait son petit ami de l'époque, si elle voulait des enfants avec lui. Il aurait adoré avec un petit fils, mais serait encore plus heureux d'avoir un arrière petit fils. Emily avait grimacé, en disant que jamais, Ô grand jamais, elle serait comme sa mère. Jamais elle ne serait mère au foyer. Et pourtant, avec quelques années de maturité en plus, sans doute admettrait-elle que ce travail à plein temps était l'un des plus compliqué et des plus honorable. Non, elle aspirait à plus que ça.

D'ailleurs, des inspirations, elle en avait tout autour d'elle. Son père, évidemment. Lui le premier. Mais pas que. Cette passion pour les gribouillis sur ses pages de cours ou de devoirs n'étaient pas uniquement inspiré par un profond ennui. Elle adorait ce que faisait son parrain, elle adorait qu'il vive de son talent, qu'il soit capable de créer des choses de ses mains. C'était nettement plus fascinant qu'une femme de presque quarante ans qui se contentait à prendre en photos des paysages ou des gens. Et en prime, autrefois, il sauvait même des vies. Sa vie était peuplée de Héros. Lorsqu'il organisait un vernissage, elle était la première à s'y rendre pour admirer sa nouvelle collection, qu'elle avait pourtant vu milles fois dans son atelier. C'était l'un des seuls adultes à pouvoir lui remettre les pendules à l'heure, sans qu'elle ne se braque de trop bien qu'elle détestait lorsqu'il la recadrait. Mais la famille Cooper regorgeait de personnalités inspirantes. Au fil du temps, Emily découvrit Lean, un modèle pour elle en terme de représentation de beauté, de féminité, mais aussi de femme forte et indépendante. Elle était un peu la grande sœur qu'elle aurait aimé avoir, et elle espérait un jour lui ressembler. Elle était pour la demoiselle une véritable source d'inspiration, et influençait chacun de ses choix. Si Emily écoutait sa musique préférée, et que la future avocate avait le malheur de dire qu'elle trouvait ça nul, alors Em' trouvait ça soudainement nul aussi. Sa série préférée? Mh, la même que Lean? Adolescente elle s'entrainait souvent dans sa chambre à se tenir comme elle, à faire bouger ses cheveux comme elle lorsqu'elle riait. Quand je serai grande, je serai Lean. Et puis, en grandissant, et surtout lorsque la Cooper passa associée, d’idole elle devint une amie, mais surtout un choix décisif sur son plan de carrière. Elle s'était toujours mis en tête que son père serait fière d'elle si elle lui ressemblait davantage, en devenant avocate, comme lui. Et, que ce soit en bien ou en mal, il parlait régulièrement de Lean, et partageait beaucoup de son quotidien avec elle. Tout ce que Millie espérait un jour pouvoir faire. Son modèle dans la vie, c'était elle. Elle n'avait pas froid aux yeux, elle inspirait le respect et dégageait un charisme incroyable. Elle l'avait déjà surprise à tenir tête à son père, et elle avait trouvé ça grandiose. Évidemment, Ben ne perdrait jamais de sa superbe aux yeux de sa fille, mais ça avait tout de même créer une certaine satisfaction en elle de le voir se faire clouer le bec de la sorte.

Aujourd'hui, Emily vit sa vie d'étudiante sur le campus de la fac. Elle aurait clairement pu rester chez ses parents le temps de ses études, mais dans le foyer familiale vivait aussi la reine Banshee, et elle préférait clairement passer le moins de temps possible avec elle, telle la fille ingrate qu'elle était. Toutefois, le confort de sa maison n'avait rien à voir avec celui de sa chambre universitaire que ses parents payaient pourtant une fortune, alors il n'était pas rare de l'y voir trainer quand même, surtout lorsqu'elle avait besoin que Jude ou Benjamin remettent de l'argent sur son compte bancaire.

 

PSEUDO : Nana ÂGE : 32 ans. TU NOUS AS CONNU COMMENT : Je connais tout le monde UN TRUC EN PLUS : Vous attachez pas trop